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jeudi 18 mars 2010

L'ibuprofène tout et rien, c'est l'auberge espagnole en quelque sorte.

         L'ibuprofène augmente le risque d'infarctus    



On avait déjà de sérieux doutes sur les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), après que le rofecoxib (Vioxx) ait été retiré des ventes. D'après une étude récente, l'ibuprofène, un AINS très largement utilisé, augmenterait la fréquence des crises cardiaques de 24% chez les personnes qui en ont pris régulièrement durant 3 mois. Cet anti-inflammatoire est fréquemment utilisé pour soulager les symptômes de l'arthrite, ou pour traiter la fièvre, les maux de tête et les inflammations. Il est commercialisé sous plus d'une cinquantaine de noms.
L'étude fut réalisée à partir d'un échantillon de 9 218 patients de plus de 25 ans ayant subi un infarctus du myocarde et un groupe de contrôle de 85 000 personnes. Cette étude montre que le rofecoxib (Vioxx), le diclofenac (Cataflam, Voltaren), et l'ibuprofène (Advil, Brufen, Ibuprofen, Motrin, Nurofen, etc.) sont associés à un risque accru de crise cardiaque. Des études supplémentaires seront nécessaires pour vérifier les effets secondaires des autres AINS, car les chercheurs suspectent des conséquences similaires.

Sources: BMJ (British Medical Journal)


Maladie d’Alzheimer - l’Ibuprofène réduit le risque d’Alzheimer

  June Chen, MD, Docteur en Médecine

Au cours des ans, des études observationnelles et des essais cliniques ont abouti à des résultats contradictoires concernant la relation entre l'utilisation au long cours de médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens ( AINS ) du type de l'ibuprofen et le risque de développer la maladie d'Alzheimer.
Les chercheurs ont répertorié 49 349 personnes âgées de 55 ans ou plus, chez qui avaient été diagnostiquées une maladie d'Alzheimer et les ont comparées avec 196 850 personnes d'âges similaires, qui ne souffraient pas d'Alzheimer. Ils ont ensuite évalué l'exposition aux AINS des deux groupes et ont testé l'association entre l'utilisation d'AINS et le développement de la maladie d'Alzheimer. Par rapport aux personnes âgées qui n'avaient jamais utilisé d'AINS, celles qui en avaient pris pendant au moins 5 ans présentaient moins de chances de développer la maladie d'Alzheimer. La probabilité de développer la maladie d'Alzheimer était particulièrement réduite parmi les utilisateurs d'ibuprofène de longue date.
Mais l'utilisation de l'ibuprofène n'est pas sans risque - les AINS peuvent provoquer des problèmes gastro- intestinaux, dont des ulcères et des saignements, ainsi que des lésions renales. Nous avons encore beaucoup de choses à apprendre : savoir pourquoi les AINS semblent avoir un effet protecteur et connaître le dosage d'ibuprofène qui serait à la fois sûr et efficace.


Créé le : 26/05/2009
Modifié le : 06/01/2010
L'ibuprofène réduirait le risque de maladie de Parkinson

L'ibuprofène (Advil, Motrin), prise régulièrement, réduirait le risque de maladie de Parkinson, confirme une étude menée par le National Institute of Neurological Disorders and Stroke, qui sera présentée au congrès annuel de l'American Academy of Neurology qui se tiendra à Toronto en avril.

Xiang Gao, de l'Université Harvard, et ses collègues ont analysé les données concernant 136.474 personnes. L'influence de plusieurs anti-inflammatoires tels qu'aspirine (acide acétylsalicylique), ibuprofène et paracétamol (acétaminophène) était étudiée. 
L'ibuprofène était le seul anti-inflammatoire à avoir une influence sur la maladie. Les personnes qui en prenaient au moins 2 fois par semaine avaient un risque 38% moins élevé de développer la maladie dans les six années suivantes que celles qui en prenaient moins souvent.

Des études précédentes avaient également suggéré un rôle protecteur de l'ibuprofène contre la maladie de Parkinson.

Les auteurs indiquent toutefois que la présente étude ne prouve pas que le lien entre ibuprofène et risque réduit de Parkinson est causal et qu'il est trop tôt pour faire une recommandation clinique pour les personnes à risque. 


Sources.





Aspirine et ibuprofène réduisent le risque de cancer de l'estomac

Aspirine et ibuprofène réduisent le risque de cancer de l'estomac
 prendre de l'aspirine ou un anti-inflammatoire de la catégorie de l'ibuprofène pourrait réduire les risques de cancer de l'estomac, révèle une étude réalisée sur plus de 300.000 personnes et publiée vendredi dans le British Journal of Cancer.
Les personnes qui ont pris au moins un cachet d'aspirine dans les douze derniers mois ont 36% moins de risques de développer un cancer de l'estomac que celles qui n'en ont pas pris du tout, selon l'enquête.
Celles qui ont pris un anti-inflammatoire non stéroïdien, comme de l'ibuprofène, voient leurs risques réduits de 32%.
Plus la prise d'aspirine ou d'ibuprofène est importante, plus le risque diminue, selon l'étude réalisée auprès de 311.115 personnes pendant environ sept ans.
La protection ne concerne cependant pas les cancers du cardia, c'est-à-dire l'orifice supérieur de l'estomac, ni les cancers de l'oesophage.
"Il est intéressant de noter que nos résultats n'ont pas montré une réduction significative des cancers du cardia et de l'oesophage. Il est donc important que nous poursuivions les analyses des données qui pensent le contraire", a indiqué Christian Abnet, du National Cancer Institute de Maryland, aux Etats-Unis, qui a conduit l'étude.
Lesley Walker, directeur de l'information sur le cancer à l'organisme "Cancer Research UK" a cependant averti qu'il était encore "beaucoup trop tôt pour recommander aux gens de prendre de l'aspirine afin de se prémunir contre ces cancers".

Sources.

 


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