Voilà ce que je leur dis aux hommes politiques :
Car selon le CNUSED et c'est absolument mon avis :
Que la politique d’austérité (celle qui a le succès que l’on sait en Grèce) « pourrait freiner la croissance » et serait donc « contre-productive sur le plan de l’assainissement budgétaire ».
2) Que « la meilleure stratégie pour réduire la dette publique consiste à promouvoir la croissance », et non, comme cela se fait un peu partout, à aggraver l’austérité.
3) Qu’un processus de freinage généralisé des salaires risque de conduire droit dans le mur : « dans le meilleur des cas, ce sera la stagnation, voire la déflation ».
4) Que les gouvernements prônant la restriction budgétaire font trop confiance aux « acteurs des marchés financiers » et aux « agences de notation », qui n’ont aucune autorité pour définir « une politique macro-économique judicieuse et une gestion rationnelle des finances publiques ».
5) Qu’une « réforme financière globale » est « plus que jamais nécessaire » et que les semblants de décisions prises jusqu’ici ont échoué, faute de volontarisme.
2) Que « la meilleure stratégie pour réduire la dette publique consiste à promouvoir la croissance », et non, comme cela se fait un peu partout, à aggraver l’austérité.
3) Qu’un processus de freinage généralisé des salaires risque de conduire droit dans le mur : « dans le meilleur des cas, ce sera la stagnation, voire la déflation ».
4) Que les gouvernements prônant la restriction budgétaire font trop confiance aux « acteurs des marchés financiers » et aux « agences de notation », qui n’ont aucune autorité pour définir « une politique macro-économique judicieuse et une gestion rationnelle des finances publiques ».
5) Qu’une « réforme financière globale » est « plus que jamais nécessaire » et que les semblants de décisions prises jusqu’ici ont échoué, faute de volontarisme.
Sources Marianne2
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