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jeudi 10 septembre 2009

L'industrie du disque dénonce les "voleurs à la petite semaine"

LEMONDE.FR | 09.09.09 | 21h46  •  Mis à jour le 10.09.09 | 09h49

A quelques jours de la reprise des débats sur la loi Hadopi à l'Assemblée nationale, le 15 septembre, le Syndicat national de l'édition phonographique (SNEP) a annoncé, mercredi 9 septembre, lors d'une conférence de presse, une nouvelle baisse des ventes de musique au premier trimestre 2009 qui relance le débat sur le téléchargement illégal.

Selon les chiffres du syndicat, au cours du premiers trimestre 2009, le marché de gros de vente de musique a chuté de 17,4 %, par rapport à la même période l'année dernière. Une perte de quelque 50 millions d'euros que le SNEP attribue directement au piratage : "Les pratiques illicites en matière de téléchargement de contenu sont depuis six ans un phénomène de masse qui a détruit plus de 50 % (soit 700 millions d'euros) de la valeur du marché de la musique en France."
"DES VOLEURS À LA PETITE SEMAINE"
Les ventes de disques chutent de 21 %, mais le SNEP s'inquiète surtout de la très lente croissance du marché numérique, qui ne progresse que de 3 %. Christophe Lameignère, président du SNEP et PDG de Sony Musique France, explique les mauvais résultats du premier trimestre 2009 par "les altermoiments sur Hadopi, qui ont donné un regain de vivacité aux pirates".
Notre offre légale fait toujours face à la concurrence déloyale des échanges illégaux de fichiers musicaux en ligne, déplore-t-il, en s'en prenant violemment aux "donneurs de leçon" anti-Hadopi : "Ce sont des voleurs à la petite semaine planqués derrière leur ordinateur qui n'ont jamais rien fait pour la création."
"Un système de dissuasion et d'intimidation de masse qui ne changera rien aux habitudes de partage d'œuvres entre particuliers, sans but commercial", répond Jérémie Zimmermann, cofondateur et porte-parole de La Quadrature du Net, fer de lance de la lutte anti-Hadopi. Pour lui, l'industrie du disque, aveuglée par ses pertes, milite pour un système répressif parce qu'elle n'est pas capable d'adapter son offre à la demande sur Internet : "On ne peut pas vendre des fichiers de 1 et de 0, comme on vendait des CD avant le numérique."
Mael Inizan

Mon commentaire :

Bon voila encore une strate de notre société qui ne vit pas sur notre planète. La crise eux ils ne voudraient pas la subir.

Et si les chiffres du marché de gros sont en recul de 17.4% sur le premier trimestre 2009 ne serions nous pas tenter de penser que finalement c'est une cause et le résultat comparés de la perte du pouvoir d'achat  des Français.

Le téléchargement n'a rien à voir la-dedans et puis si tous ces gens là se remettaient un peu en cause pour innover par exemple.

A l'évidence un tel article n'a que pour but inavoué de forcer le gouvernement à adopter HADOPI2.

Pour les maisons de disques et leurs clients l'époque des vaches grasses se terminent et puis les chanteurs sont tous résidants à l'étranger et  défiscalisent à tour de bras mettre moins de beurre dans les épinards c'est très bon pour la santé.

Une autre reflexion, pendant la crise de 1929, aux USA, il y a eu la prohibition sur l'alcool il me semble. C'est à cette épopque qu'il y a eu le plus de cyrose du foie.
Les mêmes causes produisant les mêmes effets la chasse au téléchargement renforcera le téléchargement qui deviendra anonyme grace à la technologie.

Ça c'est élémentaire messieurs.
Enfin c'est juste mon avis.









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